Il s’est tenu le mardi 20 mars 2018, dans la salle de réunion sous la présidence de la Directrice générale du CHU de Bogodogo, Diane KABORE la première session de son conseil de direction de l’Etablissement.
Ledit conseil de direction a regroupé tous les directeurs, tous les chefs de services rattachés à la direction générale et tous les chefs des services médicaux et techniques.
Fort du management participatif de madame la directrice générale de l’hôpital de district de Bogodogo, tous les acteurs de la structure sont impliqués dans toutes les grandes initiatives développées pour faire de HDB, un hôpital de référence dans la prise en charge des malades au Burkina Faso. C’est ainsi que les assemblées générales et les cadres de concertation sont régulièrement tenues avec les responsables des directions et des services et aussi avec les partenaires sociaux.
Articulée autour de la vie de l’hôpital, la première session de l’année 2018 du conseil de direction a permis de faire le point sur le fonctionnement de toutes les directions et de tous les services médicaux et techniques. A également été fait le bilan des deux mois de fonctionnement de l’hôpital pour l’année 2018.
De ces deux points majeurs à l’ordre du jour, il est ressorti que tous les services, à l’exception des urgences chirurgicales, l’anatomie pathologique et l’histologie-embryologie ont été rendus fonctionnels. Néanmoins, on note quelques difficultés qui limitent certaines actions. On pourrait résumer ces difficultés en trois points que sont :
- l’insuffisance des ressources humaines dans la quasi-totalité des services,
- l’insuffisance de certains matériels,
- l’inadéquation (nouvellement construit) et la vétusté (de l’ex CMA) de certaines infrastructures.
En guise de solutions, madame la directrice générale a présenté aux membres les démarches entreprises tant sur le plan de la mobilisation des ressources humaines que dans l’acquisition du matériel et des travaux complémentaires.
Pour ce qui est du bilan des activités du premier trimestre 2018, on enregistre un taux d’exécution physique de 70%. Même s’il reste des efforts à faire, les indicateurs connaissent une amélioration, comparativement à ceux de 2017 à la même période. La sous notification des actes est ressortie comme une insuffisance, dans la collecte des données sanitaires.
Après avoir reconnu et félicité les efforts de tout un chacun la directrice générale a invité tous les acteurs à plus d’abnégation et de rigueur dans l’exécution des tâches à eux confiées.
L’ambiance bon enfant qui a prévalu pendant les sept heures d’horloge qu’a duré ce conseil de direction témoigne de la volonté de tous à faire de HDB un hôpital de référence.
Vivement que ces cadres de concertation se pérennisent pour le bonheur des patients et du personnel de HDB.